Un Juunin par la...

Indara arpentait les couloirs de l'académie comme un zombie qui èrre sans buts précis , elle était en manque de combats sa folie meurtrière reprenant le dessus petit a petit. Personne ne pouvait réver mieu que de sentir le sang qui coule sur son corp et le hurlement d'une victime agonisante.

***La paix***

Indara cracha lorsque ce mot lui vint a l'esprit, rester cloitré alors que dehors des conspirateurs , des traitres et des puissances chaotiques veillaient ardements a la destruction du village.
Beaucoup de juunins pensaient comme elle mais se refusaient de le dire à haute voix risquant de contrarier la volontée du Tsuchikage.
Indara avait été créé pour se battre et son inactivitée provoquait chez elle de violentes crises de rages.

Pour se divertir un peu elle avait acceptée la requete d'un Chuunin pour participer à une chasse dans les terrains d'entrainements ,puis un banal concour de lancé aux shurikens. Mais cela ne suffisait pas à Indara pour pouvoir se dégourdir les bras et les jambes et étancher sa soif de combats.

Elle entra dans une salle de classe vide et s'installa sur le bureau puis regarda par la fenètre. Le soleil dispensait ses puissants rayons sur les montagnes projetant un reflet ambré scintillant la ou il y avait un cour d'eau.
Native d'Oto , Indara aimait profondément ce pays.
Un paysage rocailleu et des saisons aussi durs que sont coeur , elle ne put s'empecher de révasser et de s'attarder sur un magnifique panorama.
C'était l'un des tout premiers jours véritablement chauds de l'été et la chaleur commença à monté des l'aube. Le ciel était bleu et tranparent , les alouettes chantaient, tres haut dans le ciel, bien au-delà de la portée d'un oeuil humain et l'air bourdonnaient d'un vombrissement des taons et du zézaiment des moustiques tout justes éclos.

Apres un moment, la kunoichi s'endormit du profond sommeil malsain des guerriers.
Les memes rèves revint la hantée:
Une silhouette qui surgissait de la fumée , son masque d'Anbu façonnée a l'image d'un taureau avec sur ses tempes trois cornes asymétriques. Des bandes de cuirs et des chapelets de perles de coquillages et d'os polis tout cliquetants , venant la torturée encore et encore.
Indara fut soudain tiré de son sommeil et dévisagea la silhouette qui franchissait la porte.