Saï

Présentez vous!

Nicolas 17 ans, j'adore les mangas et le! RP ^^

Votre personnage!

Nom: //
Prenom: Saï
âge: 16 ans
Clan: Anbu (racine)
Village: Konoha
affinité: feu

Description physique: Appellé plus communément Saï, ce Shinobi est d'une taille assez banale que l'on peut estimer aux alentours des 1m69. Sa peau est d'une paleur rappellant celle d'un mort. Ses cheveux quand à eux d'un noir de jais, encadrent un visage aux traits harmonieux. Ils se voient parsemés de reflet violacés à la lueur de la lune. Ses yeux en amande varient entre le gris et le vert, et son regard semble un peu rêveur et lui donne un air doux, mais peut s'avérer d'une froideur terrifiante par moments, tandis que sa voix, parfois douce, a tendance lors de combats à être d'un froid dépourvu d'émotions.
Il porte générallement un treillis noir presque recouvert de poches, un haut moulant à manche longues en cuir noir, un long cache poussière noir.

Description mentale : Tantôt sympathique, tantôt ténébreux, c'est quelqu'un de loyal, mais impossible de discerner le bien du mal, il peut être d'une bienveillance peu commune comme débordant de haine. Il a l'avantage de maîtriser son Démon et de savoir parler dessiner extremement bien. Très charismatique, il inspire la confiance à ses alliés, et la terreur à ses ennemis. Même si il ne montre jamais ses sentiments ayant était conditionné de la sorte.

Histoire de votre personnage
Saï vécu son enfance dans un village ou les ninjas n'étaient pas appréciés, car vu leurs puissance les humains les craignaient .Saï lui fit partit d'une famille ninja qui était encore plus mal vu que les autres car il s'entrainait plus que d'autres et cela exaspérait les humains et de surcroit la famille du jeune homme utilisait des techniques encore jamais vus, ils pouvaient donner vie à tous ce qu'ils dessinaient, c'etait des techniques artistique et magnifique bien à l'image de leur famille. Mais un jour, les hommes en eu marre de se sentir si inferieur et si impuissant face à cette famille ninja et décidèrent alors d'exiler cette famille dans les 5 grands pays ninja pour les faire souffrir et empecher leurs entrainement c'etait vraiment quelque chose de terrible pour cette famille qui etait si belle et vivait bien ensemble. Le père fut exiler a Kiri, la mère a Iwa,le grand frère a Kumo, la petite soeur a Oto et lui a Koniha
Une fois a konoha il voulut rapidement trouver une personne qui pourrait l’entrainer car desormais il n’eu plus qu’un but dans sa misérable vie, c’était de partir dans tous ces villages ninjas où étaient éparpillées sa famille et de retrouvé les membres de sa famille un à un pour reformer cette belle famille qu’ils étaient avant et de vivre chaque minutes de leurs vie comme si cela était leur dernières mais cela n’est encore qu’un rêve dans la tête de Saï qu’il faut mettre en application une fois trouver la personne qui pourra le rendre fort et mature pour arriver au bout de son rêve d’enfance et aussi assouvrir sa vengence face aux hommes qui les avaient séparé jadis !
Saï fit alors la rencontre de Yamato un être extremement charismatique et extrêmement mystérieuse, nous savons très peu de chose sur ses parents qui sont maintenant mort mais ce que l’on peu lire dans les registres de Konoha c’est que Yamato a des lien de parenté avec le premier Hokage. Dés son plus jeune age il intègre l’académie des ninja dans laquelle il va surclasser littéralement ses camarades et va très rapidement obtenir le rang de Genin. Orochimaru repère très vite ce garçon aux talents plutôt exceptionnel. Très vite ce dernier va l’accompagner dans ses mission et va devenir son Sensei sous les recommandations du cinquième qui vois en Yamato le futur Hokage. Très vite Yamato va attirer encore plus l’attention de Orochimaru, car après l’obtention du diplôme de Chuunin, Yamato commence a développer des techniques avec une affinité hors du commun, des jutsus de type mokuton (élément bois), alors que seul le premier hokage était connu pour disposer de telles techniques. Yamato a aussi hérité de la capacité du premier hokage à contrôler les jinchūriki, bien qu'il ne puisse l'utiliser dans les mêmes conditions.
Aprés cette rencontre Saï parvint a rejoindre l'anbu aprés avoir réussit l'examein.



Rp test :

...En somme la beauté est partout.
Ce n'est pas elle qui manque à nos yeux,
ce sont nos yeux qui manquent à l'apercevoir...

Sur cette une eau fuyante se reflétait le ciel bleu azur survolant la forêt Konoha, un ciel ayant été épargné par les sombres nuages ayant régné quelques temps plus tôt, plus loin…à Konoha. Telle la douce neige de décembre, des feuilles venant des arbres qui bordaient le cours d’eau venaient se poser délicatement sur la surface aqueuse, décorant ainsi la masse d’eau mouvante d’une robe mouchetée de plusieurs points verts. A cela s’ajoutait les sons mélodieux venus des nombreux oiseaux, accompagnés du ressac de la cascade qui offrait un ton grave à cette ritournelle qu’est la vie…
Un soupir rêveur naquit au sein de cette symphonie naturelle… Soudain il arriva devant les porte de konoha ou une Shinobis montait la garde.

- Ama-chan… Quelles sont les nouvelles de là haut ?

Appuyé sur son coude, le menton enfuit dans sa paume, le membre de l'anbu revenant de mission observait d’un regard absent et désintéressé le début de la cascade qui s ‘offrait à lui. Couché de tout son long, il effectuait de lents mouvements de sa main libre pour s’éventer comme le ferait les grandes dames de la cour…en y ajoutant plus de grâce ainsi qu’une meilleure position…
Voyant que la consultée mettait du temps à répondre, Saï réitéra sa demande en y ajoutant une teinte de voix plus paresseuse et enfantine, avant de répéter une nouvelle fois en exagérant sur le côté joueur et taquin de la chose…sans succès. Il se contenta alors de cesser de s’éventer, avant de tourner grossièrement la tête vers celle qu’il tentait de joindre en vain…

- Ama-chan… ?

Le regard du nonchalant se posa sur la silhouette assise se tenant à quelques mètres derrière-lui, avant de se poser de nouveau sur l’étendue d’eau en face de lui. Il accompagna ce geste d’un mince sourire, avant de se remettre à se rafraîchir lentement avec son éventail, en reprenant son regard absent.
La jeune femme observa soudain Saï et lui répondit tot en lui ouvrant les portes du village.

"eh bien rien de trés spécial Saï-san ..."

Telle une flèche précise, l’intervention de la femme aux cheveux rouges avait fait une tranche nette dans les dires de Saï. Celui-ci fit un mince sourire, se réjouissant d‘avoir (comme à chaque fois) sortit le jeune homme de son mutisme par le biais de phrases malicieusement déviantes. Profitons de ce court instant et rare, il réitéra :

- Que dit-on de mon absence ?


Tirant une nouvelle fois sur son long paipu, la rousse tourna lentement sa tête vers le bras droit de Saï, avant d‘entrouvrir lentement sa lèvres. Ce dernier posa son éventail à ses côté, avant de se mettre correctement assis. Une brise légèrement vint accompagner ses gestes, rafraîchissant l’air ambiant.


- Plusieurs murmures…

le Shinobi souria a ses paroles plus que mystérieuse,il se leva lentement et si dirigea a l'interieur du village faisant un signe d'au revoir a la jeune femme,qui referma presque aussitôt les portes du village.

Konha, le village le plus magnifique que cette terre n'ai jamais créée… Ce village, resplendissait d’une beauté inaccoutumée et raffinée…même lorsque la ville était sous la pluie. Celle-ci, aujourd’hui délicate et suave, donnait à la citée un côté tranquille et apaisant où un léger tempo de gouttes d’eau froides résonnait calmement sur les toits de tuiles. Une vraie atmosphère de quiétude, telle une journée de fin de semaine où tout le monde reste chez soi à bénéficier d’un bon thé devant une douce cheminée et chaleureusement reposante.

Marchant dans les quelques barbotières d’eau, quelques patrouilleurs survenaient encore dans les venelles silencieuses de Konoha, discutant à voix basse de choses aussi inintéressantes que variées. Assignés à leur tâche, leur empêchant de profiter d’une journée de délassement avec leur famille, ceux-ci n’avaient d’autre choix que de faire la conversation entre eux…parlant de tout et de rien sans vraiment exposer de grandes thèses. Il était amusant de voir que ses hommes, de nature assez fière, orgueilleuses voir autoritaires dans leurs fonctions se trouvaient être de simples pères de familles dont la vie privée ne se résumait qu’à de simples travaux ménagers. Au fond, lorsqu’ils endossaient leurs costumes, les patrouilleurs avaient tendance à gonfler d’estime pour eux-mêmes. Mais cela ne s’appliquait pas qu’aux fonctionnaires de bas niveau…cela en était de même pour les plus hauts dirigeants…

Konoha… un véritable imbroglio de maisons identiques…

Tenant une ombrelle l’empêchant de recevoir l’ondée céleste, un passant déambulait au sein d’une ruelle d’un pas lent malgré la pluie. Habillé d’un ensemble de kimono bleu, le randonneur évitait de marcher dans une flaque…voulant éviter de salir ses habits qui semblaient dégager une certaines classes quoi qu’étranges. Le regard passant juste en bas de l’ombrelle, l’homme regardait quelques fois à droite, puis à gauche, comme analysant les diverses maisons de la ville.

…Je dois être un peu en retard, je n’aurai jamais crû que les meilleurs vendeurs se trouvent aussi loin

Après trois derniers pas, le vagabond s’arrêta au sein d’un petit carrefour, regardant de chaque coté une éventuelle destination à prendre. Il ne connaissait pas beaucoup les petites ruelles de Konoha, et traverser la ville était pour lui une sorte d’épreuve qui avait le don de l’agacer. Son regard fut prît par l’hésitation lorsqu’il vit que des gardes se trouvaient dans l’une des ruelles, il fit un mince soupir. Il regarda sa cruche de saké du coin de l’œil.

Le labeur des un fait le butin des autres…

Puis après une dernière hésitation, l’homme à la cruche pénétra dans la rue qui était peuplé de trois patrouilleurs. Ceux-ci, discutant sympathiquement entre eux, diminuèrent l’intensité de leur voix lorsque l’individu à l’ombrelle passa à côté d’eux, le regardant du coin de l’œil comme s’il souffrait de la lèpre. De son côté, l’observé ne leur offrit aucune attention, faisant comme s’ils n’existaient pas. Mais c’est alors que la voix de l’un des patrouilleurs lui vint à l’oreille au moment où il leurs tournait le dos :

- Dis donc, monsieur…

Le concerné s’arrêta, mais tourna toujours le dos à celui qui l’appelait.


- Où vas-tu avec autant de saké alors que tu es seul ?

Un fin sourire se dessina sur les lèvres de l’homme à l’ombrelle, le dénommé Saï qui ne se montrait pas vraiment dans les ruelles.

- Là où d’autre pourront le boire avec moi…y a-t-il une objection… ?

Se tournant lentement vers ses interlocuteurs, l’homme au saké vit que ceux-ci le regardait d’une expression simple. Visiblement, il ne s’agissait pas d’un début d’altercation…heureusement, l'homme sembla soudain reconnaitre le blason de l'anbu et plus précisement des "racines".


- Non… (Il remarqua le visage soutenu de l’individu) Faites juste gaffe !

- Pourquoi donc… ?

- Nous avons entendu dire que des voleurs s’étaient donné spectacle au sein de Konoha. Votre saké va sûrement les intéresser…

- Tout comme il vous intéresse.

- Mais… non…non… Nous souhaitons juste vous accompagner afin d’avoir un œil sur vous et vous protéger… (regard vers la cruche) Vous et votre saké…

L’homme à la cruche eu le sourire élargit, avant de fermer les yeux et de répondre très poliment :

- N’ayez crainte, mon saké se portera bien. (Il regarda les patrouilleurs d’un regard sincère) Je vous remercie de l’attention que vous lui portez, vous êtes des hommes au soutien du peuple.

- Oui ! De vénérables hommes de justice, étrangers à toutes distractions !

Soudaine, l’apparition d’un homme à la carrure imposante força les regards à se dresser vers la gauche. Bâtit tel un roc, habillé d’une armure simple, un autre patrouilleur avait fait son entré, coupant cours à la discussion. Vu sa prestance, le nouveau venu devait être leur supérieur car les deux vigiles se tassèrent sur eux-mêmes lorsqu’ils sentirent le regard autoritaire de l’armoire à glace. De son côté, après avoir fait ses yeux en "U" inversé, le porteur d’alcool de riz se retourna pour enfin continuer son chemin. Voyant qu’il n’y avait rien à faire de plus, et ne sachant pas comment faire autrement pour faire peser la balance sur un poids, les deux patrouilleurs abandonnèrent leur tentative et furent rappelés à leur tâche, suivit de leur supérieur qui s’en alla avec eux…

Mais le labeur de certains offre le fruit des autres…

Quinze minutes s’écoulèrent avant que le voyageur ne parvienne à sa destination, laissant échapper un soupir de soulagement. Face à lui, une simple maison typique de Konoha se dressait sans grande prétention, témoignant du savoir des entrepreneurs ainsi que leur idéologie humanistes. Sur l’un des murs se trouvait un petit chapeau grenat qui eu pour effet de faire sourire le nouvel arrivant, ce dernier s’avança avant d’arriver en dessous d’un petit toit où il replia son petit parasol, révélant ainsi son visage.
Il s’agissait de Saï, toujours aussi mal coiffé . Le Shinobi fit trembler son ombrelle afin de l’égoutter, avant de frapper quatre fois à la porte. Il entendit alors une voix :

« Tout est bruit… »

Le Jeune garçon avança alors son visage à la porte et souffla afin que la personne à l’intérieur entende clairement, il susurra alors :

« …pour celui qui a peur. »

Trois pas se firent entendre, avant que la porte ne s’ouvre et que Saï s’engouffre dans la petiote maison. Arrivée à l’intérieur, il ne prit pas le temps d’observer, mais il leva instinctivement le bras en montrant la cruche à une jeune femme.

- Chère Yamato… Afin d’excuser mon retard, voici de quoi me faire pardonner... J’espère que le Namazake parfumé à la rose ne vous pose pas de problème ?

Saï afficha un sourire sincère vers celle qui semblait être la fille du Jounin. N’attendant pas sa réponse, il déposa la cruche à côté d’un mur avant de s’incliner poliment et de montrer une table en invitant la jeune fille à s’asseoir.

- Posons-nous, j’aimerais que l’on s’entretienne paisiblement. Comme d’habitude, nous allons jouer au Go.

Il attendit alors les réactions de Yamato san et de sa fille qui semblait resplendir d’une beauté juvénile…et encore vierge…( ?)

ps: je souhaiterais faire partis de l'anbu serais ce poissible ^^